de rab » 02 Avr 2020, 17:22
Ce montage a marqué mon retour au diaporama fédéral, après une trentaine d'années essentiellement consacrées à la multivision au sein Vincennes Images, puis de Chelles Audiovisuel. J'avais trouvé un sujet qui m'était très personnel, une exploration de ma fascination pour les statues. Malheureusement, je n'ai pas su trouver l'équilibre entre les deux aspects, l'introspection et l'exploration culturelle. Certains, qui n'ont rien compris, on parlé de fausses pistes psychologiques. Ce n'étaient pas de fausses pistes, c'est moi qui ai perdu le fil. Pourtant, si on y réfléchit, il y avait un lien que j'aurais dû mettre en relief : beaucoup de ces statues présentaient une figure paternelle. J'avais fait les mauvais choix. Si j'avais choisi cet axe, j'aurais dû renoncer à la Vénus de l'Esquilin et ne pas mettre de côté les restes de la statue colossale de Constantin. Et garder toujours le fil du mystère de la transmission, surtout que les profondeurs obscures de la Maisons Dorée offraient une belle métaphore pour une plongée dans l'inconscient. Il fallait donner à l'exposé historique un éclairage vraiment personnel. Il reste que l’exercice, comment mettre en lumière les raisons d’une passion esthétique et historique, était extrêmement difficile. Toutefois, j'espère que visionner ce montage peut donner un certain plaisir. J'ai beaucoup travaillé la mise en scène des images, et je reste très fier du zoom final, et de l'ensemble de l'accompagnement musical.
Ce montage a marqué mon retour au diaporama fédéral, après une trentaine d'années essentiellement consacrées à la multivision au sein Vincennes Images, puis de Chelles Audiovisuel. J'avais trouvé un sujet qui m'était très personnel, une exploration de ma fascination pour les statues. Malheureusement, je n'ai pas su trouver l'équilibre entre les deux aspects, l'introspection et l'exploration culturelle. Certains, qui n'ont rien compris, on parlé de fausses pistes psychologiques. Ce n'étaient pas de fausses pistes, c'est moi qui ai perdu le fil. Pourtant, si on y réfléchit, il y avait un lien que j'aurais dû mettre en relief : beaucoup de ces statues présentaient une figure paternelle. J'avais fait les mauvais choix. Si j'avais choisi cet axe, j'aurais dû renoncer à la Vénus de l'Esquilin et ne pas mettre de côté les restes de la statue colossale de Constantin. Et garder toujours le fil du mystère de la transmission, surtout que les profondeurs obscures de la Maisons Dorée offraient une belle métaphore pour une plongée dans l'inconscient. Il fallait donner à l'exposé historique un éclairage vraiment personnel. Il reste que l’exercice, comment mettre en lumière les raisons d’une passion esthétique et historique, était extrêmement difficile. Toutefois, j'espère que visionner ce montage peut donner un certain plaisir. J'ai beaucoup travaillé la mise en scène des images, et je reste très fier du zoom final, et de l'ensemble de l'accompagnement musical.
