de dccn » 04 Juin 2006, 17:04
"Une soirée qui prend bien" de Stéphane Bidouze
L'analyse de Michèle Paret:
J'ai vu ce diaporama plusieurs fois avant de comprendre (du moins je le crois) de quoi il s'agit. Une fête d'anniversaire, une réunion de copains autour d'un barbecue, un feu qui prend mal et qu'on réactive, qui reprend trop bien et anéantit tout ce qui se trouve autour de lui : la maison dans laquelle se passe la fête et la vie des quatre compères. Un anniversaire, ce n'est pas rien, surtout quand on est jeune et qu'on a la vie devant soi. Une étincelle, réactivée par un artificier, normalement maître du feu et tout bascule… en enfer ? On peut le croire en voyant le visage déformé de Jean-Michel, l'artificier. Il me fait penser à Aladin sortant de sa lampe magique. Les effets visuels créés par Stéphane Bidouze sont parfaitement étudiés et convaincants. A chaque fois qu'apparaît un œil, on voit un personnage différent, c'est bien amené. La phrase : "C'est qui ce con, qu'a débranché la vie ? " est cruciale pour la compréhension du diaporama, mais je ne suis pas persuadée qu'on la saisisse à la première vision. Si beaucoup de personnes décrochent, je pense que cela vient de là . Moi… je n'ai pas tout de suite compris. Des quatre personnages de la fête, pas un seul survivant… deux mécontents de leur sort : le dompteur d'escargots et la danseuse… deux bienheureux : Jean-Michel le maître du feu et Loulou la fumeuse de joints éthérée, baba cool qui va retrouver les siens dans un autre monde ? Ai-je bien saisi le message ? La chanson de W. Sheller me plaît beaucoup, je l'aime bien et j'aime bien le chanteur, mais je ne vois pas pourquoi elle vient se rajouter à l'ensemble. C'est sans doute elle qui a été source d'inspiration : Loulou … J'avoue ne pas avoir vraiment accroché ou avoir très vite décroché. L'auteur maîtrise bien la technique, les effets de mouvement sont très agréables à regarder, mais… je reste sceptique. Mais… cet avis n'engage que moi. Je ne suis malheureusement pas la seule dans ce cas, ce qui prouve qu'il y a peut-être un problème au niveau de la construction. On aurait pu atteindre de hautes sphères avec un tel sujet et une telle maîtrise de la technique.
[size=150][b] "Une soirée qui prend bien" de Stéphane Bidouze
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[b]L'analyse de Michèle Paret:
J'ai vu ce diaporama plusieurs fois avant de comprendre (du moins je le crois) de quoi il s'agit. Une fête d'anniversaire, une réunion de copains autour d'un barbecue, un feu qui prend mal et qu'on réactive, qui reprend trop bien et anéantit tout ce qui se trouve autour de lui : la maison dans laquelle se passe la fête et la vie des quatre compères. Un anniversaire, ce n'est pas rien, surtout quand on est jeune et qu'on a la vie devant soi. Une étincelle, réactivée par un artificier, normalement maître du feu et tout bascule… en enfer ? On peut le croire en voyant le visage déformé de Jean-Michel, l'artificier. Il me fait penser à Aladin sortant de sa lampe magique. Les effets visuels créés par Stéphane Bidouze sont parfaitement étudiés et convaincants. A chaque fois qu'apparaît un œil, on voit un personnage différent, c'est bien amené. La phrase : "C'est qui ce con, qu'a débranché la vie ? " est cruciale pour la compréhension du diaporama, mais je ne suis pas persuadée qu'on la saisisse à la première vision. Si beaucoup de personnes décrochent, je pense que cela vient de là . Moi… je n'ai pas tout de suite compris. Des quatre personnages de la fête, pas un seul survivant… deux mécontents de leur sort : le dompteur d'escargots et la danseuse… deux bienheureux : Jean-Michel le maître du feu et Loulou la fumeuse de joints éthérée, baba cool qui va retrouver les siens dans un autre monde ? Ai-je bien saisi le message ? La chanson de W. Sheller me plaît beaucoup, je l'aime bien et j'aime bien le chanteur, mais je ne vois pas pourquoi elle vient se rajouter à l'ensemble. C'est sans doute elle qui a été source d'inspiration : Loulou … J'avoue ne pas avoir vraiment accroché ou avoir très vite décroché. L'auteur maîtrise bien la technique, les effets de mouvement sont très agréables à regarder, mais… je reste sceptique. Mais… cet avis n'engage que moi. Je ne suis malheureusement pas la seule dans ce cas, ce qui prouve qu'il y a peut-être un problème au niveau de la construction. On aurait pu atteindre de hautes sphères avec un tel sujet et une telle maîtrise de la technique.
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