"La maison de l'oubli" de Gabriele PINARDI


ImageImageImageImageImageImageImage


Image


* Dans cette partie "Analyses des DCcn Ă©trangers"
Vous ne pouvez pas POSTER une analyse nouvelle
mais vous pouvez REPONDRE Ă  une analyse grĂące au bouton "RĂ©pondre"

Répondre

Smileys
:icon_neutral: :icon_e_confused: :icon_eek: :icon_e_sad: :icon_e_ugeek: :icon_cry: :icon_e_wink: :icon_question: :icon_e_smile: :icon_e_biggrin: :icon_rolleyes: :icon_cool: :icon_redface: :icon_e_surprised: :icon_evil: :icon_razz: :icon_exclaim: :icon_mad: :icon_mrgreen: :icon_twisted: :icon_lol: :icon_arrow: :icon_e_geek: :icon_idea:
Les BBCodes sont activés
[img] est désactivé
[flash] est désactivé
[url] est désactivé
Les smileys sont activés
Revue du sujet
   

Etendre la vue Revue du sujet: "La maison de l'oubli" de Gabriele PINARDI

commentaire de AndrĂ© » 12 Fév 2006, 22:07

Un diaporama qui m'a fait froid dans le dos.
Le but est atteint. C'est superbe, si on peut s'exprimer ainsi

"La maison de l'oubli" de Gabriele PINARDI

commentaire de dccn » 09 Fév 2006, 04:52

"La maison de l'oubli" de Gabriele PINARDI

L'analyse de MichĂšle Paret:

Regarder ce diaporama, ce n'est pas un moment de divertissement. C'est beau, bien rĂ©alisĂ©, mais que c'est dur ! On le prend comme un vĂ©ritable coup de poing en plein visage. La bande son, le texte sont trĂšs puissants et accentuent le sentiment de malaise Ă©prouvĂ© Ă  la vue des images. Pour la majeure partie d'entre elles, l'auteur a choisi le noir et blanc, ce qui s'imposait. On ressent intimement les tourments qui torturent l'homme pendant sa thĂ©rapie. Les souvenirs qui remontent Ă  la surface le hantent : le pĂšre violent, les images enchevĂȘtrĂ©es, la balançoire qui grince, les roues de la chaise d'infirme, les horribles cafards qui le rongent et symbolisent sa folie et sa psychose, tout cela nous atteint au plus profond de nous mĂȘme. Les images se mĂȘlent comme les souvenirs effroyables et obsĂ©dants. Les images se mĂȘlent comme les souvenirs avec les paroles brutales du pĂšre. Chaque fois que le banc, symbole du divan, apparaĂźt, on entend la voix de l'analyste, une intervention qui doit faire avancer le malade dans sa quĂȘte de la vĂ©ritĂ©. A certains moments, j'ai retrouvĂ© une ambiance Ă  la Hitchkock et j'ai pensĂ© au film "Psychose". C'est dur, mais tellement bien rĂ©alisĂ© ! Un reproche tout de mĂȘme : je trouve que le message ne passe pas toujours clairement. Je pense qu'il s'agit de la psychanalyse d'un fils torturĂ© par le souvenir du pĂšre. Mais quel est le rapport entre la balançoire, la voiture ? Quelle est la cause de l'infirmitĂ© ? Des relations pĂšre - fils Ă©nigmatiques et douloureuses pour l'un comme pour l'autre, culpabilitĂ© de l'un et de l'autre. Le fils rĂ©ussira-t-il Ă  comprendre ce que son pĂšre a cherchĂ© Ă  ĂȘtre ? Qui pourrait confirmer ou infirmer ces impressions personnelles ? Sur la derniĂšre image, gĂ©nĂ©rique qui passe trop vite Ă  mon goĂ»t, Gabriele Pinardi indique qu'il s'est librement inspirĂ© de "Apocalypse now", "Shining" et "K. Pax". J'aurais aimĂ© en savoir plus. Qu'a-t-il pris de ces trois films ? Qui a Ă©crit de si beaux textes et qui les dit si bien ? Ces renseignements font dĂ©faut mais cela n'enlĂšve rien Ă  la qualitĂ© du diaporama.



Haut

cron