"Mine the ecstasy" de Eddie Spencer


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Revue du sujet
   

Etendre la vue Revue du sujet: "Mine the ecstasy" de Eddie Spencer

commentaire de Patrice Bazzana » 27 Déc 2006, 01:48

Beaucoup de travail sur la bande son et la photo, et d'originalité dans ce diaporama qui va au delà du documentaire classique. Je regrette qu'il n'y ait pas eu plus de commentaires

"Mine the ecstasy" de Eddie Spencer

commentaire de dccn » 06 Avr 2006, 17:45

"Mine the ecstasy" de Eddie Spencer

L'analyse de Michèle Paret:



Voilà un superbe diaporama, bien construit, aux images envoûtantes. Une nouvelle facette de la vie de Salvador Dali, sa fascination pour Antoni Gaudi, lui aussi natif de Catalogne. Les bâtiments construits par Gaudi sont à la mesure de l'esprit de Dali, aussi torturés et aussi démoniaques. Tous deux ont la même folie des grandeurs et de la démesure, architecture et peinture surréaliste se rejoignent. Je regrette de ne pas avoir compris tout le texte, bien qu'il soit admirablement bien dit. Une petite introduction en français aurait été la bienvenue pour nous mettre sur la voie… Mais je me suis laissée bercer par le rythme des voix et de la musique, par l'ambiance qui émane de l'ensemble. J'ai apprécié l'alternance entre la voix de l'homme Dali et de Gala, sa femme. Il y a une complicité entre les deux membres du couple, comme entre Gaudi et Dali. Ils admirent l'architecture de Gaudi et on sent naître l'inspiration du peintre. Les images sont excellentes, les fondus bien amenés et parfaitement réussis, tout en finesse, à la recherche des couleurs et des harmonies. J'ai aimé les apparitions discrètes du peintre, portraits à la célèbre moustache ou silhouettes. Rien à dire sur les prises de vue de ces bâtiments de Barcelone hors du commun, sur fond de ciel immaculé et aux bleus saturés. Le choix musical est lui aussi excellent, jamais la musique n'est trop forte, elle sert à renforcer l'ambiance qui se dégage de l'ensemble. On se sent pris dans une spirale dont on ne pourra pas se sortir. L'esprit du maître est tout puissant. "Je suis le surréalisme". Ces paroles semblent venir directement d'un rêve.


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