de Jean-Louis Terrienne » 10 Jan 2023, 18:36
Oh, que ça sent bon les longues soirĂ©es diapo. d'antan. Bon, on s'ennuyait un peu ; mais on attendait la prochaine sĂ©ance toujours avec impatience. C'est comme Ă l'opĂ©ra on s'y ennuie parfois mais on y retourne toujours avec excitation. Oui, comment faire des choses qui ennuient les gens ? On Ă©tait, dans les annĂ©es 60 de premiĂšre force Ă ce petit jeu. "Le prieurĂ© de Serrabona" est un modĂšle du genre. Cependant, il s'en dĂ©gage un certain charme fait de je ne sais quoi : peut ĂȘtre l'exigence et les ambitions de l'auteur confrontĂ© Ă l'impuissance des moyens techniques de l'Ă©poque, presque attendrissant. La reconnaissance du public des clubs allait de soi et tout le monde Ă©tait content. C'Ă©tait le bon temps ! J'ai connu ces soirĂ©es lĂ , pour ĂȘtre tombĂ© dans la marmite du diaporama en 1967 (qui dit mieux aujourd'hui ?). Le club parisien s'appelait Image XV (15Ăšme arrondissement). SacrĂ©es soirĂ©es !
Oh, que ça sent bon les longues soirĂ©es diapo. d'antan. Bon, on s'ennuyait un peu ; mais on attendait la prochaine sĂ©ance toujours avec impatience. C'est comme Ă l'opĂ©ra on s'y ennuie parfois mais on y retourne toujours avec excitation. Oui, comment faire des choses qui ennuient les gens ? On Ă©tait, dans les annĂ©es 60 de premiĂšre force Ă ce petit jeu. "Le prieurĂ© de Serrabona" est un modĂšle du genre. Cependant, il s'en dĂ©gage un certain charme fait de je ne sais quoi : peut ĂȘtre l'exigence et les ambitions de l'auteur confrontĂ© Ă l'impuissance des moyens techniques de l'Ă©poque, presque attendrissant. La reconnaissance du public des clubs allait de soi et tout le monde Ă©tait content. C'Ă©tait le bon temps ! J'ai connu ces soirĂ©es lĂ , pour ĂȘtre tombĂ© dans la marmite du diaporama en 1967 (qui dit mieux aujourd'hui ?). Le club parisien s'appelait Image XV (15Ăšme arrondissement). SacrĂ©es soirĂ©es !