"Musique pour vos yeux" de Jean Prissette
Date: 03 Déc 2012, 14:13"Musique pour vos yeux" de Jean Prissette
L'analyse de Michèle Paret :
Nous n’avons pas eu le plaisir de connaître Jean Prissette, mais nous savons qu’il était un « grand » du diaporama. Il est parti il y a peu de temps pour un autre monde, peut-être celui de ces grands espaces vierges et éthérés qu’il semblait tant aimer.
Sans doute, comme le dit le visiteur qui a déjà inscrit un message à propos de « musique pour vos yeux » les images numérisées ne sont-elles pas à la hauteur des diapositives originales, mais elles permettent au moins de ne pas oublier. La vocation de ce site est de faire continuer à vivre des œuvres qui seraient sans doute perdues à jamais.
Le titre m’a un peu perturbée au départ, mais en fait il est très cohérent : la beauté du concerto de Dvorak sublime celle des paysages et des fleurs prises en gros plan. Il en émane un sentiment de plénitude et de sérénité, ce que l’on éprouve devant une telle immensité et un dans un tel silence.
Le rythme est très lent, il suit la musique et permet de superbes fondus. Néanmoins, je trouve l’ensemble un peu long.
Plus d’un photographe aurait aimé réaliser d’aussi belles images.
Jean Prissette, qui a maintenant rejoint l’éternité a sans doute encore au cœur cette parfaite symbiose entre musique et image… régal pour les yeux et l’ouïe.
L'analyse de Michèle Paret :
Nous n’avons pas eu le plaisir de connaître Jean Prissette, mais nous savons qu’il était un « grand » du diaporama. Il est parti il y a peu de temps pour un autre monde, peut-être celui de ces grands espaces vierges et éthérés qu’il semblait tant aimer.
Sans doute, comme le dit le visiteur qui a déjà inscrit un message à propos de « musique pour vos yeux » les images numérisées ne sont-elles pas à la hauteur des diapositives originales, mais elles permettent au moins de ne pas oublier. La vocation de ce site est de faire continuer à vivre des œuvres qui seraient sans doute perdues à jamais.
Le titre m’a un peu perturbée au départ, mais en fait il est très cohérent : la beauté du concerto de Dvorak sublime celle des paysages et des fleurs prises en gros plan. Il en émane un sentiment de plénitude et de sérénité, ce que l’on éprouve devant une telle immensité et un dans un tel silence.
Le rythme est très lent, il suit la musique et permet de superbes fondus. Néanmoins, je trouve l’ensemble un peu long.
Plus d’un photographe aurait aimé réaliser d’aussi belles images.
Jean Prissette, qui a maintenant rejoint l’éternité a sans doute encore au cœur cette parfaite symbiose entre musique et image… régal pour les yeux et l’ouïe.