Message de Présario
Merci à tous, de nous faire réver en voyant ces belles images, mais j'irai plus loin dans le regard, pas celui uniquement du premier plan, mais dans l'ensemble du cliché et dans le cas présent qui nous interesse, celui du montage.
Comprendre ce que l'auteur a voulu transmettre, pourquoi telle photo, plus tôt qu'une autre, la musique faut'il la mettre en liaison avec le thème du pays (locale) ou sortir de l'espace avec une musique qui veut dire aussi, qu'on est transporté ailleurs.
Malgré que je sois un inconditionnel de la Jordanie, vous tous vous me régalé par vos montages, moi aussi je suis pationné de photos et de montage (proshow V4).
Je suis aussi Président d'une association basée sur le bénévolat en milieu Hospitalier et maison de retraite, (audeladelobjectif) mais j'ai toujours plaisir à découvrir les oeuvres des autres et combien même le résultat n'est pas des fois de hautes volées, rendons homage à celui qui a passé du temps, qui a pioché certainement des minutes, des heures sur la conception et si il a osé déposer celui-ci dans ce site, c'est que quelque part, il est fier de son bébé,
alors ne lui cassons pas sa joie, par des mots comme "NUL" directement, une seconde lecture vous changera peut-être votre crtique trop rapide, tout le monde n'a pas l'appareil dernier cri, ni le logiciel adapté et ouvert à l'utilisation de toutes les options et possibilités offertes.
Soyons humble de nous même, Bravo à tous (toutes est bien sur intégré) les aléas de la langue Française, continués, continués encore, la pratique il n'y a rien de plus positif.
Merci Ã
Paul François Béziat, pour m'avoir replongé dans ce beau voyage.
A bientôt tous
Présario.
Michèle Paret a écrit: "Petra, le dit des pierres" de Paul-François Béziat
L'analyse de Michèle Paret :
Ce n’est pas facile de « faire » un diaporama sur le site archéologique de Pétra. Celui-ci étant apprécié de beaucoup de touristes, trekkeurs et historiens de tout poil, nombreux sont les diaporamistes qui se sont « attaqués » à ce sujet. Paul-François Béziat s’en est fort bien tiré : il ne nous parle pas de cette civilisation dont on sait fort peu de choses, il a préféré laisser son imagination vagabonder en admirant les pierres et leurs couleurs fantastiques, véritables œuvres d’art, comme les monuments grandioses aujourd’hui sortis de leur sommeil séculaire. Ayant eu le plaisir de passer plusieurs jours sur ce site, j’ai retrouvé cette beauté incomparable des camaïeux de grès que l’on ne voit que là -bas. Le texte me semble bien choisi et convient bien aux images. Cependant, l’auteur aurait pu transmettre des émotions personnelles encore plus fortes. Quand on est là -bas, dans de telles cathédrales minérales, on vibre encore plus et on se sent bien petit dans une telle immensité. Remarquons au passage que l’auteur a réussi à prendre des photos sans le moindre personnage, ce qui est un réel exploit.