Je confirme que la pellicule avait une âme parcequ'elle avait une matérialité. Un fichier numérique est virtuel et "selon moi", le virtuel ne peut avoir d'âme.
Je pratique désormais le numérique avec ferveur (un peu trop certainement pour les effets diaboliques des logiciels), mais je crois avoir perdu la rigueur de l'argentique qui me faisais créer de façon plus sobre.